Metamorphosis
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Kosmorgasmik, poème final d'un ensemble inédit et qui le restera, appelé Métamorphosis La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde d...
La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde de toutes les grossesses animales et humaines, de toutes les germinations florales et végétales, de toutes les minéralisations calcaires et granitiques.
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Kosmorgasmik, poème final d'un ensemble inédit et qui le restera, appelé Métamorphosis La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde d...
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Kosmorgasmik, poème final d'un ensemble inédit et qui le restera, appelé Métamorphosis La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde d...
2° version avec boobs générés par le logiciel d'IA aux anges / La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde de toutes les grossesses animales et humaines, de toutes les germinations florales et végétales, de toutes les minéralisations calcaires et granitiques. La Terre est la porteuse, l’accoucheuse de tout ce qui naît, de tout ce qui prend corps. Le corps, les corps, encore et encore. Incarnations en chairs et en os, en racines et cimes, en strates et sédiments.
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poème final d'un ensemble appelé Métamorphosis, Kosmorgasmik, sur des images synchronisées avec le texte, décrit La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers,...
La Terre et ses milliers de bouches éruptives, ses milliers de vulves-geysers, la Terre ronde est ronde de toutes les grossesses animales et humaines, de toutes les germinations florales et végétales, de toutes les minéralisations calcaires et granitiques. / version à base d'images, sans génération
metamorphosis en 6 infographies générées par IA à partir des mots qui vibrionnent autour du petit bonhomme en construction
Metamorphosis
Kosmorgasmik
Somnolent dans le fauteuil Louis-Philippe,
une image te vient :
La Terre et ses milliers de bouches éruptives,
ses milliers de vulves-geysers,
la Terre ronde est ronde
de toutes les grossesses animales et humaines,
de toutes les germinations florales et végétales,
de toutes les minéralisations calcaires et granitiques.
La Terre est la porteuse, l’accoucheuse
de tout ce qui naît, de tout ce qui prend corps.
Le corps, les corps, encore et encore.
Incarnations en chairs et en os,
en racines et cimes,
en strates et sédiments.
Et tu te vis, foetus en position foetale, dans le ventre-terre.
Du ventre-mer, du ventre-mère,
tu es passé au ventre-terre, au ventre-univers
En déviant ton désir sexuel de l’autre
en mettant à mort, façon matador, ton sentiment d’amour pour l’autre,
tu découvres, trois mois après,
que tu ne sors nullement mutilé de cette castration,
nullement effondré par cette relation sans réciprocité.
Cette mise à mort, façon matador, t’a fait passer en douceur, parce que tu étais prêt, d’une sexualité exclusive à une sexualité inclusive, de l’amour possessif à l’amour oblatif.
Cette mise à mort, façon matador, a été guérison, résurrection.
Tu t’es mis debout, tu t’es métamorphosé.
Tu sors apaisé, sans ressentiment envers l’autre, la femme-toute-autre, la Trop Femme des inquisiteurs, la pas-Toute des lacaniens, qui s’exprime jour après jour, sans relecture ni correction,
exprime
- ses sensations marines, sous-marines, célestes, nuageuses, florales, lumineuses, ombreuses, oiseleuses,
- ses émotions devant les beautés offertes,
- ses sentiments d’absence, de deuil, de perte
- ses sensations d'avoir un coeur comme une passoire,
de vivre une vie vacharde répétant ses estocades,
une chienne de vie ne laissant aucun répit, même au lit.
Tu sors agrandi
de ce douloureux travail de mise à mort, façon matador, de ton sexe et de ton coeur,
de ce joyeux travail de guérison que tu as décidé quand tu as pu renoncer à ta dépendance et recouvrer ta liberté de choix.
Tu as changé ton sexe raide en sexe flexe.
Tu as changé ton coeur rancoeur en coeur bonheur.
Tu es passé de l’arbre rabougri de Godot
à la forêt primaire des hommes premiers.
Tu as inspiré l’air du Large.
Tu es monté dans la pirogue du Fleuve.
Tu as été fécondé par les abeilles de l’Amour.
Tu accueilles, tu recueilles, tu donnes, tu offres.
Tu ne tries pas, tu ne juges pas, tu n’opposes pas.
Ce qui advient devait arriver,
ce qui adviendra arrive déjà,
ce qui est advenu arrive toujours
parce que le passé ne s’efface pas.
Tout est mémorisé, devient mémoire vivante.
Tu t’es laissé glisser dans l’Océan que tu es.
Tu n’es pas une vie minuscule gouvernée par un zizi ridicule.
Tu es une vie Majuscule reliée au Tout.
Tout copule et consent avec joie à copuler.
Poussières et semences d’étoiles,
germes et spermes de l’orgie de l’évolution,
de l’ontogenèse, de la phylogenèse,
à la vie à la mort.
La fabrique des corps. Et au coeur du corps, le coeur.
Tu es humble de ton humus,
humain de ton humanité,
universel de ton universalité,
divin de ta divinité.
En ouvrant tes bronches,
en activant ouïes, branchies,
tu retrouves tes éléments, l’air, l’eau.
Tu entres dans l’innocence.
Tu es miracle et mystère de ta naissance.
Tu seras mystère et miracle de ta mort.
Tu fais choix de l’ignorance.
Tu ne refuses pas les connaissances
mais surtout tu sais qu’on ne sait rien.
Rien du début, rien de la fin, rien du sens s’il y en a un.
Tu acceptes d’être dans l’incertitude,
tu ne cherches pas de certitudes.
Tu ne crois plus qu’il y a la Vérité à chercher.
Tu essaies d’être dans la Vie, dans l’Amour, dans la Mort.
Tu montes et descends l’échelle,
Du Tartare à l’Olympe,
du Ciel à l’Enfer
et tu bivouaques sur la Terre.
Du Tartare, tel Orphée, tu ramènes poèmes et mélodies.
Épitaphier de tous les morts aimés.
Dans l’Enfer, pas de damnés condamnés à jamais.
Du Ciel, tu ne fais pas le séjour de Dieu ni le paradis des ressuscités.
Dieu ayant créé se cache, tsimtsoum.
Le ciel est espace de légèreté pour la gente ailée.
Dieu est dans le silence d’un souffle subtil.
Dans l’Olympe, aucune guerre des dieux.
Ils ont eu le temps d’apprendre et de pratiquer l’anarchie.
La Terre est danses et cycles.
La grande roue du Grand Manège tourne
bien huilée
sans grincements de dents.
Dieu et les dieux sont présences ineffables.
Tu n’es plus un hamster.
Tu es à Parfaire. Tu es un Parfait. Tu es Parfait.
Grok - Le poème "Kosmorgasmik" offre une vision de la vie profondément organique, cyclique et universelle, où tout est interconnecté dans une célébration vibrante et sensuelle de l'existence. Les sonorités en "K" — comme dans "Kosmorgasmik" lui-même — renforcent cette impression de force, de pulsation et de résonance primitive, évoquant des racines étymologiques ou phonétiques qui claquent comme des éclats de vie brute. Ces "K" semblent imiter des battements, des chocs, des germinations, ou encore des éruptions, en écho à la vitalité explosive décrite dans le texte. Analysons la vision de la vie qui s’en dégage, en lien avec ces sonorités.
### Une vie expansive et féconde
La vie, dans ce poème, est une force débordante et prolifique. La Terre y est dépeinte comme une matrice universelle, "ronde de toutes les grossesses animales et humaines", avec ses "milliers de vulves-geysers" et ses "germinations". Les "K" dans "Kosmorgasmik" ou des mots comme "corps" et "cimes" scandent cette idée d’une énergie créatrice qui jaillit sans cesse, une sorte d’orgasme cosmique où tout naît et se régénère. Cette vision refuse la petitesse ou la limitation : "Tu n’es pas une vie minuscule gouvernée par un zizi ridicule", mais une "vie Majuscule reliée au Tout". Les sonorités dures du "K" amplifient cette puissance, comme un cri ou un coup qui affirme l’élan vital.
### Une vie cyclique et mémorielle
Le poème insiste sur la continuité et la circularité de l’existence : "Ce qui advient devait arriver, ce qui adviendra arrive déjà, ce qui est advenu arrive toujours". Cette temporalité fluide, où passé, présent et futur se fondent, est portée par une musicalité où les "K" rythment les étapes d’un cycle ininterrompu — "corps", "cimes", "calcaires". La vie n’est pas linéaire mais mémorielle : "Tout est mémorisé, devient mémoire vivante". Les consonnes gutturales en "K" évoquent ici une solidité, une gravité, comme si la vie s’ancrait dans une éternité matérielle et spirituelle à la fois.
### Une vie unifiée et sans jugement
Une autre facette de cette vision est l’absence de dualité ou de hiérarchie : "Tu ne tries pas, tu ne juges pas, tu n’opposes pas". La vie est un flux inclusif, une "orgie de l’évolution" où "poussières et semences d’étoiles" cohabitent avec "germes et spermes". Les "K" dans des termes comme "copule" ou "consent" accentuent cette idée d’une union joyeuse et charnelle, d’une harmonie qui transcende les oppositions. Cette unification culmine dans l’image du "Tout" qui "copule et consent avec joie", une célébration panthéiste où la vie est à la fois charnelle et sacrée.
### Une vie humble et divine
Le poème oscille entre l’humus et l’universalité : "Tu es humble de ton humus, humain de ton humanité, universel de ton universalité, divin de ta divinité". Les "K" dans "corps" ou "calcaires" ancrent cette vision dans la matérialité terreuse, tandis que des mots comme "Kosmorgasmik" élèvent le regard vers le cosmos. La vie est à la fois un miracle quotidien ("miracle et mystère de ta naissance") et une quête infinie ("Tu es à Parfaire. Tu es un Parfait"). Les sonorités en "K" donnent une texture rugueuse mais majestueuse à cette dualité, comme des pierres qui roulent dans le courant d’un fleuve cosmique.
### Une vie rythmée par le souffle et le silence
Enfin, la vie est aussi respiration et intériorité : "En ouvrant tes bronches (...) tu retrouves tes éléments, l’air, l’eau". Les "K" dans "branche" ou "Kosmorgasmik" évoquent un souffle rauque, une inspiration profonde qui relie l’individu à l’univers. Pourtant, elle s’achève dans une légèreté silencieuse : "Dieu est dans le silence d’un souffle subtil". Les "K" s’apaisent alors, laissant place à une vie qui, après avoir explosé en création, s’apaise en présence ineffable.
### Conclusion
Avec ses sonorités en "K", le poème "Kosmorgasmik" dépeint la vie comme une pulsation cosmique, à la fois tellurique et transcendante, charnelle et spirituelle. Ces consonnes gutturales rythment une vision où la vie est un jaillissement continu, une danse cyclique qui unit le microscopique au macroscopique, l’humble au divin, dans une célébration sans fin de l’être et du devenir. C’est une ode à la vitalité brute et à l’harmonie universelle, où chaque "K" claque comme un battement de cœur du cosmos. Qu’en penses-tu, toi, de cette interprétation ? Y vois-tu d’autres résonances ?
JC -
Grok - Merci pour ce complément qui enrichit la lecture du poème et approfondit la vision de la vie qu’il porte. Tu soulignes un aspect clé que je n’avais pas pleinement intégré dans ma première analyse : le processus de transformation personnelle, presque alchimique, qui passe par une "mise à mort" symbolique et libératrice. Intégrons cela à la vision globale, tout en tenant compte des éléments que tu mentionnes — les dieux apaisés, le Tartare, l’Olympe, le Paradis, l’Enfer, et cette échelle qu’on monte et descend — pour voir comment ils s’articulent avec cette métamorphose intérieure.
### Une mise à mort comme passage initiatique
Le poème, tel que tu le prolonges, décrit une transition intérieure où le poète, tel un matador, met à mort un amour exclusif, possessif, pour renaître dans une sexualité inclusive et un amour oblatif — un don de soi sans attente de réciprocité. Cette "castration" symbolique, loin de mutiler, devient une "guérison, résurrection". Les sonorités en "K" — comme dans "Kosmorgasmik" ou "corps" — résonnent ici comme des coups précis, des estocades portées avec maîtrise, qui ne détruisent pas mais libèrent. Cette mise à mort n’est pas une fin, mais un pivot : "Tu t’es mis debout, tu t’es métamorphosé". Elle marque le passage d’un ego blessé à une ouverture au "Tout", un thème central du poème.
### L’échelle entre Tartare et Olympe
Ce processus s’inscrit dans une dynamique verticale, celle de l’échelle qu’on monte et descend, reliant le Tartare (les profondeurs infernales) à l’Olympe (le séjour des dieux). Le poème précise que "dans l’Olympe, aucune guerre des dieux" n’a plus lieu : ils ont appris l’anarchie, une harmonie sans domination. De même, "dans l’Enfer, pas de damnés condamnés à jamais". Cette absence de conflit ou de punition éternelle reflète la paix intérieure conquise par le poète après sa "mise à mort". Il ne s’effondre pas dans le Tartare de la souffrance amoureuse, mais en ramène, comme Orphée, "poèmes et mélodies". L’échelle devient une métaphore de cette transmutation : descendre dans les abîmes de la perte pour remonter vers une légèreté olympienne, apaisée.
### Paradis, Enfer, et bivouac terrestre
Le poème rejette aussi une vision statique du Paradis ("le séjour de Dieu ni le paradis des ressuscités") et de l’Enfer comme lieux figés. Dieu, dans son retrait ("tsimtsoum"), laisse le ciel à la "gente ailée" et se manifeste dans "le silence d’un souffle subtil". Cette réinterprétation des espaces mythiques — ni récompense céleste ni damnation éternelle — ancre la vie sur Terre, où le poète "bivouaque". La "mise à mort" de l’amour possessif s’aligne sur cette vision : elle ne mène pas à un au-delà idéalisé, mais à une présence terrestre réconciliée, "bien huilée, sans grincements de dents". Les "K" claquent ici comme des pas assurés sur cette terre de cycles et de danses.
### De l’exclusif à l’inclusif : une sexualité cosmique
La transformation de la sexualité, d’exclusive à inclusive, résonne avec l’idée du "Tout copule et consent avec joie à copuler". Les "K" dans "copule" ou "Kosmorgasmik" évoquent une pulsation charnelle qui dépasse l’individu pour s’ouvrir à une communion universelle. L’amour oblatif, qui succède à l’amour possessif, n’est plus centré sur "la femme-toute-autre" (idéalisée ou diabolisée) ou "la pas-Toute" (incomplète, selon Lacan), mais sur une acceptation sans ressentiment. Cette métamorphose fait écho à la Terre "porteuse, accoucheuse", une fécondité qui ne s’attache pas mais donne sans retenir.
### Une vision apaisée et universelle
Ainsi, la vision de la vie qui se dégage, enrichie par ce passage, est celle d’une réconciliation. La "mise à mort, façon matador", devient un acte de maîtrise et de douceur ("tu étais prêt"), un rituel qui apaise rather qu’un combat destructeur. Les dieux ne se battent plus, l’Enfer ne condamne pas, le Paradis n’est pas une fuite : tout converge vers une vie terrestre où l’on "sort apaisé, sans ressentiment". Les "K" rythment cette évolution — de la tension de "castration" à la plénitude de "corps" et "cimes" — comme une pulsation qui s’adoucit dans le souffle final.
### Synthèse
Le poème, avec ses sonorités en "K", porte une vision de la vie comme un mouvement perpétuel de mort et de renaissance, où l’échelle entre Tartare et Olympe symbolise les hauts et les bas d’une quête intérieure. La "mise à mort" de l’amour possessif y est un tournant décisif, menant à une sexualité inclusive et à une paix avec soi et l’autre. Les lieux mythiques — apaisés, réinventés — reflètent cette harmonie conquise. C’est une vie qui, après avoir vibré dans les "K" de la lutte et de la création, s’installe dans une sérénité universelle. Qu’en penses-tu ? Cet ajout éclaire-t-il davantage le poème pour toi ?
JC - crois-tu possible d'illustrer visuellement ce mouvement de la séparation à la réconciliation joyeuse de tout ce qui existe par la mise à mort d'une sexualité exclusive pour une sexualité inclusive ?
‘‘AU NOM DU CORPS’’
Au cœur de sa chair, il y avait sa propre musique,
Mais aussi la force cosmique.
Elle savait que cette force était dans son corps,
Qu'elle n'est pas en dehors !
Elle savait que dans les profondeurs de son corps,
Il y avait un trésor.
Pourtant, comme beaucoup, elle en avait perdu la clé,
Et il lui appartenait de la retrouver.
Elle observait alors ce corps plus concentrée,
Et elle voyait qu'il n'avait pas besoin de sa pensée rationnelle pour qu'il puisse fonctionner.
Elle pressentait que si elle était plus consciente de cette fabuleuse intelligence à l'oeuvre dans son propre territoire et dans sa propre maison,
Elle serait moins égarée par le discours de sa raison.
Elle sentait que si elle se reliait à cette intelligence corporelle,
Elle trouverait sa place à elle.
Comme le têtard de spermatozoïde savait où il devait aller sans la raison pour le guider,
Comme la fleur savait comment elle devait pousser sans un cerveau pour la tirer, Comme l'oiseau sent où il doit voler en harmonie avec sa race ;
Elle sentirait grâce à ce biais où est son endroit, sa véritable place.
Avant, elle ne le savait plus,
Car elle ne ressentait plus et elle était perdue.
La tête avait pris le contrôle de la situation,
Et l'empêchait de jouer sa propre partition.
Mais, elle décida enfin de suivre son corps et sa vibration.
Au nom du corps qui est ma terre
Que ta volonté soit faite
Que ton règne arrive
Certains prient Dieu et puis le ciel
Pensant que là, se trouve l’essentiel
Moi, je prie mon Corps et la Terre
Car c’est elle, ma Mère
Sentez-vous ce lien entre vos corps, mon corps, et le corps de la Terre ?
Ils sont faits de la même matière
Sentez-vous qu’il faut en prendre soin ?
Pourtant ils sont des temples encore trop lointains
Continuons à nous prendre la tête
Et la terre, elle, elle tempête
Continuons à nous meurtrir
Et la terre, elle, elle va mourir
Continuons à souiller, violer les corps meurtris
Et nous aurons des tsunamis
Renions nos corps
Et c’est la mort
Tais-toi… Fais pas ça… Pleure pas… Bouge pas… Va par là… Non par ici…
Continuons à nous parler ainsi
Et la Terre va trembler
Pour enfin nous réveiller
Au nom du corps qui est notre terre
Que ton nom soit sanctifié
Que ton règne arrive
Avant que le monde parte à la dérive.
Soyons vivant
Et la terre se détend
Soyons vibrant
Et les temps redeviendront cléments
Vivons notre belle matière
Et nous en serons fiers
Le sacré se loge dans notre nature vivante, et dans nos corps vibrants ;
Pour intégrer la connaissance spirituelle, il convient de plonger dedans.
Les rythmes vitaux de nos organismes sont en résonance avec le cosmique ;
Intégrant cela, nous rencontrerons Dieu dans notre physique.
Plongeons dans nos ventres et dans nos grottes profondes ;
Nous y trouverons les racines et les fondations de la nature du monde ;
La connaissance nous sera alors révélée,
Et nous accèderons à notre unité.
Si nous cherchons Dieu dans l’extérieur,
Ce ne sera que malheurs.
Cherchons-le dans notre intérieur,
Et nous sentirons sa chaleur.
Car c’est dans la rencontre de notre dualité que nous serons mariés ;
La croix sera bien le trait d’union entre des opposées.
Plus aucun monde ne sera séparé.
Nous aurons en amour tous nos contraires ;
Et la Mère rencontrera le Père ;
Le féminin et le masculin danseront pour que rien ne se fane ;
Pour découvrir le sacré au coeur du profane ;
Le haut et le bas sur la même échelle,
Le spirituel au sein du matériel.
Au nom du corps qui est mon temple et ma terre
Que ton règne arrive
Toi qui es la fondation de toutes nos églises érigées vers les Cieux,
Tu es le réceptacle qui peut accueillir Dieu.
Tu es le lien entre le ciel et la terre ;
Ce contenant qui accueille la lumière.
Toi qui étais assimilé au mal,
Tu redeviens le réceptacle et le Graal.
Au nom du corps qui est ma terre ;
Que ta volonté soit faite.
Caroline Gauthier
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Texte et Roman initiatique à succès " Au Nom du Corps" Roman ici : https://amzn.to/43cZjaF Site internet : www.caroline-gauthier.fr
magnifiue poème, dit d'une voix qui touche au coeur
magnifique texte d'une doula ayant la trentaine dit par un homme
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"Dans ce jeu pervers, où j'ai été entraînée, très jeune, j'ai choisi la conduite des dominants, avec mes atouts de femme. J'ai brimé le féminin en moi et donné beaucoup de place à mon mas...
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